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10 raisons qui poussent un(e) étudiant(e) à vouloir devenir médecin

Dernière mise à jour : 2 sept. 2020

Bienvenue sur mon blog et bienvenue sur mon premier article !


Depuis toujours, j'aime écrire et aider les autres (c'est d'ailleurs la première raison pour laquelle j'ai choisi les études de médecine). Tout au long de mes études, j'ai eu le sentiment de ne pas disposer de ressources "personnelles", "informelles", pour pousser ma réflexion. J'aurais aimé pouvoir échanger davantage avec des étudiants des années supérieures et savoir ce qu'ils ont appris de leur expérience dans le milieu, et qui m'aiderait à mon tour lors de mon parcours! C'est pourquoi j'ai décidé de me lancer dans ce blog, pour répondre à tes questions et te confier des astuces ainsi que des conseils en rapport avec les études de médecine (étude sensu stricto mais aussi par rapport aux cours, aux stages, ...), en lien avec le métier de médecin mais aussi avec les changements qui viennent avec les études universitaires en général.

Mais retournons à l'article. Tout d’abord, il faut noter que beaucoup d’étudiants s’engagent dans ces études en idéalisant le métier. Ils pensent savoir que le métier est dur, mais quand ils se retrouvent face à la réalité, ils se rendent compte qu’ils avaient largement sous-estimé la pression psychologique non seulement qu’ils subiraient pendant leurs études, mais aussi par la suite.

Il faut dire ce qui est : si tu deviens médecin, tu te retrouveras (plus que probablement) avec des vies entre les mains. Personne ne peut être 100% préparé à cela mais rassure-toi, tu auras 6 ans pour tenter de te faire à cette idée.

Si tu lis ceci, c’est sûrement que tu te poses la question d’entamer les études de médecine, ou bien peut-être as-tu déjà commencé et te demandes-tu si tu as fait le bon choix ! Tu es au bon endroit. Ici, je vais tenter de t’aider à te poser les bonnes questions, à nuancer certains aspects en prenant le contrepied de certains clichés, et en débattant à propos de 10 raisons qui poussent un étudiant à commencer des études de médecine.

[Disclaimer : Note bien que tout ce qui est publié dans mes articles est mon opinion personnelle et ne constitue pas une source officielle d'informations par rapport à l'Université. Les choses peuvent avoir changé dans l'organisation des études depuis l'écriture de articles, donc n'hésite pas à te renseigner auprès de l'Université pour toujours vérifier la validité et l'actualité des informations dont je parle].

10 raisons qui poussent un(e) étudiant(e) à commencer des études de médecine :

1. Le salaire

Même si cela m’horripile de commencer avec cet argument, on ne va pas se mentir, tout le monde sait que le métier de médecin est bien rémunéré. Et même si tout travail mérite salaire, le salaire du médecin est pour le moins confortable. C’est malheureusement ce qui pousse beaucoup d’étudiants à commencer les études de médecine. Mais il est indispensable de rappeler que le métier de médecin est un métier profondément humain avant tout. Celui qui décide de se diriger vers une carrière médicale pour des raisons financières devrait plutôt se diriger vers des études d’économies et de finance… En effet, celles-ci seraient beaucoup moins éprouvantes sur le plan émotionnel et promettent également un salaire confortable sans tous les inconvénients du métier de médecin (gardes etc). La médecine reste avant tout une science tournée vers l'humain puisque le coeur de sa mission est d'en prendre soin ; par ailleurs, les réformes allant dans le sens d'une productivité à l'hôpital) érodent cette nature. Tout cela pour vous dire que le salaire est attrayant, mais assurez-vous que vous ne faites pas 6 ans d’études et 3 ans de spécialisation minimum pour le salaire… on ne le dira jamais assez ! Si vous n'adhérez pas à cette définition de la médecine, vous trouverez votre bonheur ailleurs que dans ce métier.

2. La reconnaissance sociale

C’est vrai que cela fait chic de s’imaginer avec le petit Dr devant son nom ! Les gens écarquillent les yeux quand tu leur dis que tu es étudiant en médecine ou médecin. On sent de l’admiration dans le regard des patients tous les jours et il y a de quoi faire gonfler l’égo. Mais rappelons-nous qu’avant tout, le médecin est au service de ses patients et pas l’inverse. Un médecin doit faire preuve d’humilité et d’une oreille attentive afin de cerner avec subtilité les problèmes sous-jacents aux plaintes des patients. Dis-toi toujours ceci : le médecin prend bien souvent le rôle de confident, celui qui écoute sans juger, celui chez qui on se rend en dernier recours, quand on ne sait pas vers qui se tourner.

Le souci avec le fantasme de la reconnaissance sociale liée au titre de Docteur, c'est qu'un étudiant en médecine ou un praticien pourrait finir par se croire invincible; or le médecin ne sait pas tout : il se retrouve bien plus souvent qu’on ne le croit face à des situations floues, ou bien face à des patients où le diagnostic est difficile. C’est pourquoi il est essentiel d’apprendre à rester humble et à se remettre sans cesse en question en tant que médecin. On n’a pas réponse à toutes les questions, et on n’est pas toujours le héros de la situation. Il peut aussi arriver au médecin de se tromper de diagnostic ou bien de devoir annoncer une mauvaise nouvelle à un patient… et dans ce cas il faut aussi assumer : assumer ses erreurs, assumer de devoir annoncer au patient qu'on ne peut malheureusement plus rien faire pour l'aider, assumer d'admettre qu'on ne connait pas la réponse aux questions, assumer d'être accusé (parfois à tort) d'avoir commis une erreur, ...

3. Les séries médicales

Qui n’a pas vu dans sa vie un épisode de Doctor House, ou Grey’s Anatomy ? Ces séries cultes qui portraient de manière romancée la vie de personnages fictifs dans le monde médical. C’est très souvent par là que les étudiants commencent à s'intéresser et à construire une passion pour le métier. Nombreux sont ceux, cependant, qui en viennent à idéaliser le monde médical, car les séries rendent celui-ci bien plus « glamour » en romançant les choses … inutile de préciser que les séries médicales n’abordent pas plusieurs aspects ingrats du métier, et les étudiants se retrouvent ainsi déçus face à la réalité du métier. Ce n’est pas pour autant qu’ils regrettent forcément de s’être dirigés vers cette magnifique profession, les séries ont l'intérêt de réveiller une passion dormante chez un étudiant qui ne se serait peut-être pas posé la question s'il n'avait pas regardé à la série en question! Mais autant être informé de ce qui se passe vraiment dans la vie professionnelle d’un médecin avant de faire son choix (d’où l’utilité de ce blog 😉) !

4. Un adulte proche qui est médecin

Papa, maman, … est médecin ? ou infirmier ? ou pharmacien ? ou kiné ? Tu as grandi dans cet univers depuis tout(e) petit(e) ? D’après ce que j’ai pu voir à Liège, beaucoup d’étudiants ont un parent (ou les deux) dans le domaine médical. Ils sont baignés dans cet univers et souhaitent faire carrière dans leur profession. C’est tout naturel d’être fasciné et de vouloir continuer à faire ce que nos parents font ! D’autant plus que dans ce cas ils ont en général une bonne idée de ce qui se trame dans le milieu médical et de la réalité de celui-ci ! Si ta famille n’est absolument pas dans le domaine médical, pas de panique : tu n’es absolument pas exclu(e) du système ! Tu vas pouvoir te renseigner et apprendre autant de choses que ceux qui ont grandi dans le milieu ! Et tu vas pouvoir faire découvrir ce monde à ton entourage, ce qui est super chouette à faire aussi ! Assure-toi bien cependant que tu t’informes suffisamment pour savoir vers quoi tu te diriges.

5. La présence d’une maladie dans leur vie/dans la vie d’un(e) proche

Beaucoup d’étudiants choisissent de se diriger vers la médecine parce que quelqu’un est/a été malade dans leur entourage proche. Parfois, certains étudiants sont eux-mêmes des patients ou l’ont été. Le choix de ces derniers d'entamer des études de médecine peut justement être motivé par ce vécu, qui a pu être positif : l’expérience a été révélatrice d'un intérêt insoupçonné et les convainc de faire une carrière calquée sur l'admiration qu'ils portent aux soignants qu'ils ont côtoyé. D’autres, au contraire, ont vécu une situation extrêmement traumatique et entrent dans le système pour tenter de rendre celui-ci meilleur.

6. L’envie d’aider autrui (potentiellement faire de l’humanitaire)

Idéalement, lorsque on décide de se lancer dans cette carrière, il faut être altruiste. Certains même se lancent avec l’ambition de faire une carrière dans l’humanitaire international, projetant de se rendre dans des pays potentiellement en guerre ou très pauvre afin d’y aider des personnes qui y souffrent. Cela peut paraître un peu extrême, et malgré le fait que certains s’y lancent par vocation, nombreux sont ceux qui le font pour eux et non pas pour ceux qu’ils aident : une case à cocher sur le bucket list, susciter de l’émerveillement dans leur entourage, pour se donner bonne conscience… Il n’y a rien de mal à exercer la médecine « normale », « non-humanitaire » car beaucoup de patients dans nos sociétés riches et industrialisées ont également besoin de nous. Il n’y a pas de mal à envisager une carrière « humanitaire » ou même quelques missions à l’étranger. L’important est de s’assurer que l’organisme avec lequel on s’associe est bien géré et qu’on aura un impact définitif sur les patients chez qui on intervient. Sachant que les frais de voyage et de séjour sont souvent importants, je trouve cela intéressant de privilégier une aide au personnel médical sur place et tenter d’améliorer la qualité des soins sur le long terme et un suivi de qualité pour les patients, l’impact en sera d’autant plus grand.

Plus globalement, si on veut pouvoir soigner des humains, on doit pouvoir faire preuve de bienveillance, d’empathie et de patience. Parmi certains étudiants et médecins cependant, ces qualités sont difficiles à trouver et j’en viens parfois à penser que certains ont sans doute oublié la raison derrière notre métier : s’occuper des gens et les aider dans leur bien-être : cela passe par un savoir-vivre irréprochable, mais surtout un mode de communication efficace ! Vouloir aider les autres, cela est nécessaire mais malheureusement pas suffisant. Nombreuses sont les qualités humaines requises pour devenir un professionnel médical. En premier, il faut savoir écouter les patients et leur montrer qu’ils sont écoutés afin de créer un lien de confiance. Nombreux sont les médecins qui oublient de se soucier de l'importance de renvoyer une bonne image d'eux-mêmes. En travaillant sur cette image, les praticiens sont obligés de penser à leur attitude qui doit toujours être à l'affût aux besoins du patient. Par ce travail, il est question de l'image du corps médical entier qu'il s'agit d'entretenir, afin de construire la confiance dont nous avons nous-mêmes besoin de nos patients. Ainsi, les médecins qui donnent une impression d'insouciance ou d'indifférence rendrent les patients désemparés et laissent penser que dans la médecine, seul le corps médical compte. Pour moi, le savoir-être joue un rôle crucial. Prête attention à ce genre de détails, et veille à ce que ton envie d’aider se montre et se perçoive !

7. Pour la stabilité de l’emploi

Un médecin au chômage ? Jamais ! A moins de faire une faute grave et de voir son droit d’exercer retiré, c’est très peu probable de voir un médecin en difficulté pour trouver du travail. C’est très rassurant sur le fait que dès que tu auras terminé tes études, tu trouveras toujours du boulot. Mais cela n’est pas sans côtés négatifs : bien trop souvent (surtout lorsque tu seras assistant), tu seras amené à faire des heures supplémentaires, rester tard pour terminer ton travail et cela empiète beaucoup sur la vie privée. Il faut apprendre à poser des limites (quand c’est possible) et à accepter la frustration de ton entourage quand tu dois les priver de moments passés ensemble. Eh oui, les patients passent avant tout. Pour sa santé mentale il faut bien sûr pouvoir prendre des moments de repos, mais le prix à payer de la stabilité de l’emploi est un envahissement de la vie personnelle. Même après les heures de travail, un médecin continuera à se tracasser et à douter de ses décisions, à se remettre en question et à réfléchir sur ce qui s’est passé pendant sa journée.

8. La passion pour les sciences et le corps humain

Ce qui est super avec la médecine, c’est que cela touche à tout ! La médecine est une science dont la pratique fait appel à la psychologie, la déontologie et la philosophie mais avant tout, il est important de la considérer comme l’étude de l’Homme normal, puis de l’Homme pathologique. Si tu es étudiant en secondaire, tu as sûrement déjà tes préférences en matières scientifiques et tu as sûrement aussi des matières qui te plaisent moins et que tu redoutes… ne t’inquiète pas, c’est tout à fait normal ! personnellement, je détestais les mathématiques et je pensais aimer la chimie (j’ai changé d’avis après avoir découvert la chimie organique). Quoi qu’il en soit, si tu aimes la biologie, la médecine a toutes les chances de te plaire. Si tu veux creuser un peu le genre de matière qu’on étudie en médecine, je t’invite à explorer le fabuleux monde de YouTube à la recherche de cours de physiologie, histologie, biochimie et anatomie. Ce seront les 4 principales matières qui te seront enseignées après la première année (qui sert un peu de « remise à niveau » en sciences). Je ne vais pas te mentir en te disant qu’on aime tous les cours qu’on étudie… Personnellement en arrivant en médecine, j’étais soulagée à l’idée de laisser derrière des cours que je jugeais inutiles ou inintéressants de secondaire en me disant que puisque j’ai choisi ces études, je serai passionnée et je prendrais du plaisir à étudier ! Naïve que j’étais ! Bien-sûr beaucoup de choses sont extrêmement intéressantes mais les cours sont tellement variés qu’il y aura toujours des cours (ou des chapitres de certains cours) qui seront extrêmement ennuyeux ou profondément difficiles à comprendre puis à apprendre. Je ne vais pas te cacher que surtout, ce qui est frustrant dans les études de médecine, c’est de devoir apprendre tellement de matière que tu n’auras pas toujours la possibilité d’en « profiter » ou de t’émerveiller à propos de cette matière. Tu devras ingurgiter tellement d’informations qu’au bout d’un moment (et c’est normal), tout te paraîtra fade et long. Je sais que dans cet article on me reprochera peut-être d’être rabat-joie mais j’écris toutes ces choses pour t’éviter d’être déçu(e). Tellement d’étudiants arrivent plein d’espoir et perdent leur temps en médecine car ils ne sont pas au courant de la réalité des choses. Si tu aimes les sciences, certainement que tu aimeras apprendre la médecine, mais en plus tu dois être un travailleur acharné qui arrive à se motiver à apprendre (souvent par cœur) même quand les choses ne l’intéressent pas, car on n’a pas le luxe de pouvoir choisir ses cours ou sélectionner la matière qui nous intéresse le plus. Au final, il faut tout connaître !

9. La réussite scolaire en secondaire

Nombreux sont les premiers de classe en secondaire qui se trouvent face au choix cornélien de carrière. On entend souvent le fameux combo « droit, médecine ou ingénieur » ? Et le cliché veut que les filles aillent en droit, les garçons en ingénieurs, et puis ben… en médecine il y a des deux ! Beaucoup de carrières ont des objectifs similaires à celles d’un médecin (soigner, guérir, prendre soin, veiller au bien-être : aider les gens) mais toutes n’ont pas l’air aussi difficiles que le métier de médecin et notamment que les études de médecines qui sont notoirement connues comme étant parmi les études les plus difficiles au monde. Alors on a tendance à entendre que certains professeurs ou certains parents, conseillent aux élèves de se diriger vers des carrières plus ambitieuses lorsque leurs points en secondaire sont bons, alors que les élèves les plus en difficulté seront moins encouragés à entamer des études difficiles. J’aimerais briser un peu tous ces préjugés : certes les études de médecine sont difficiles, mais les autres études le sont aussi. Peu de gens trouvent les études supérieures faciles, et souvent on ne se rend pas compte de la difficulté des études avant d’y être. Un « bon » élève en secondaire n’est pas forcément celui qui travaille le plus … c’est celui qui, justement, a des facilités. Un « bon » élève en secondaire, bien souvent, ne travaille pas autant (car il n’a pas besoin de le faire) qu’un étudiant qui est plus en difficulté. Et c’est bien le problème, ces « bons » étudiants arrivent en médecine sans avoir de vraie méthode de travail, et arrivent avec confiance ! Et, s’ils ne se mettent pas rapidement à jour, ils finissent comme beaucoup, à rater leur année. Alors, l’échec n’est pas la fin du monde (d’ailleurs je t’encourage à lire l’article de mon blog qui aborde le sujet), mais c’est extrêmement décourageant de se retrouver en échec pour la première fois, surtout dans des études que l’on veut vraiment faire et sans comprendre pourquoi on a raté ! Si tu es un étudiant du secondaire qui n’est pas « excellent » ou qui doit étudier pour réussir, sache que ceci sera à ton avantage lorsque tu te retrouveras sur les bancs d’université ! Il faut savoir que, contrairement à ce qui se produit lors des études de secondaire, 99% des étudiants à l’université travaillent très dur pour réussir et n’ont pas « facile ». Ne te laisse pas décourager par ce que certains peuvent te dire (que ce soit des profs, des gens de ton entourage ou de ta famille) car si tu as de la volonté et de la motivation (et de la mémoire !) et que tu es quelqu’un qui travaille dur, persiste, tu as toutes les qualités pour réussir !

Si tu es étudiant en secondaire « doué », félicitations à toi ! mais ne viens pas trop plein de confiance car il te faudra aussi t’adapter et travailler dur, te remettre en question et te préparer à un échec éventuel. Je ne dis pas cela pour te démoraliser et te décourager, mais pour bien t’avertir que les études que tu t’apprêtes à commencer n’ont rien à voir avec les cours du secondaire auxquels tu excellais avec facilité !

10. Tu as une spécialisation particulière en tête

Nombreux sont les étudiants qui arrivent en première année, la tête pleine de rêves, en se disant, « moi, plus tard, je serai chirurgien », ou « psychiatre » etc… C’est merveilleux de se projeter dans notre futur métier et cela peut vraiment aider à conserver sa motivation suite aux multiples et rudes épreuves qui constituent le parcours d’un étudiant en médecine. Mais il est important, évidemment, de garder un esprit ouvert et de continuer à s’intéresser à toutes les autres spécialisations (même celles qui, à priori, ne vous plaisent pas) afin de ne pas se priver d’opportunités ! Rares sont les étudiants qui terminent et se dirigent vers la spécialisation qu’ils voulaient faire en commençant leurs études.

Ce qu’il faut savoir également, c’est que 70% des médecins sont généralistes. Beaucoup d’étudiants commencent leurs études en envisageant une spécialisation médicale et en oubliant la médecine générale. Celle-ci est bien trop souvent oubliée alors qu’il s’agit d’un métier de première ligne extrêmement important qui présente de nombreux avantages : le suivi des patients sur la durée et la création d’un lien thérapeutique unique, la possibilité d’envisager l’individu dans son ensemble etc. Enfin, tout cela pour te dire que la médecine est vaste et que tu vas découvrir des spécialisations que tu ne connaissais sûrement pas, et qui pourraient potentiellement te plaire !


En conclusion, malgré les nombreuses difficultés des études de médecine et du métier de médecin, ce métier est trop souvent idéalisé, mais apporte également énormément de plaisir à ceux qui l’exercent. Il ne convient certainement pas à tout le monde, et il est important de s’informer avant de faire son choix définitif et de s’engager dans cette voie difficile.





Si cet article t’a plu, n’hésite pas à jeter un coup d’œil à mes autres articles !

D’ici là, que tout aille bien pour toi !

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